Il faut bien que je vous parle de mon stage de temps en temps, sinon on pourrait croire que je suis en vacances. Déjà 7 semaines de finies : tout va trop vite !

Pour ceux qui ont tout suivi jusqu’ici, je bosse pour Yuranga, une boite dans l’IT qui gère du matériel informatique pour d’autres entreprises et développe des applications web.

Trois de ses applis sont exploitées par une autre société « 30000feet » (30 000 pieds). Ces logiciels sont conçus pour les entreprises de fret. 30000feet appartient également à mon tuteur. L’exploitation des applications hors de Yuranga permet d’être plus clair pour les clients et de valoriser plus simplement les applications en cas de revente.

Il y a également deux autres applis exploitées par une troisième société, dont mon tuteur à des parts.

Et enfin deux autres dans deux autres sociétés.

Dit comme ça, ça peut être un peu difficile à comprendre, alors que j’ai déjà un peu simplifié.

La plupart de ces logiciels sont complémentaires et chaque client est très content du logiciel qu’il utilise. Le but est donc de mettre en avant cette complémentarité pour inciter chacun a utiliser de nouveaux produits.

La communication autour de 30000feet

C’est cette partie qui avait le plus besoin de communication. Si on demande à Google ce qu’il savait de la société et de ses logiciels début septembre, il vous aurait parlé de FreightTracker. C’est tout.

• 30000feet n’avait pas de site internet et n’entait pas enregistré chez Google maps,
• Le site internet de FreightTracker était vieillissant,
• easyAllocate et transMesh n’avait pas de site internet.

FreightTracker

FreightTracker est le produit phare de 30000feet. Le site avait besoin d’une mise à jour, tant car les évolutions du logiciel n’était pas toute en ligne, que parce qu’un beau site internet est important pour une société hight-tech.

Il est désormais en ligne depuis quelques jour : website.freighttracker.com.au

Tout ce qui fait de mieux est dedans : responsive pour s’adapter à tous les écrans, du mobile à l’ordinateur de bureau. Les images se chargent en haute définition si les écrans le sont ou en résolution normale pour les moins beaux écrans. Et la vitesse de chargement est très bien optimisée -depuis la France, on ne le sent pas je pense puisque le serveur est à Sydney-. Une pépite ! -non, je suis modeste-. En tout cas depuis qu’il est en ligne 4 personnes ont appelé pour avoir un nouveau site internet.

30000feet

La société est maintenant enregistrée sur Google Maps et je lui ai créé un site internet. Très simple, celui-ci, le but d’être « corporate ».

On retrouve une page « blog » servant à poster les informations sur les 3 logiciels. Auparavant, cela était fait par mail et sur le support, c’est un gros travail, mais Google ne pouvait rien voir de tout ça : autant le montrer à tous maintenant.

Une seconde page présentant simplement les trois applications maison et les trois autres « compatibles ». Avec un lien pour le site internet de chacune : si on peut optimiser son référencement tout seul, autant ne pas s’en priver !

La troisième page donne simplement accès à un formulaire de contact.

Le tout est aussi optimisé pour se charger vite, la page de blog a défilement infini pour vous éviter de cliquer bêtement sur « Suivant > » et bien entendu on est compatible mobile, tablette et desktop.

Pour en voir plus : 30kft.com.au

Il est déjà plus facile de comprendre qui fait quoi comment pour qui avec ces deux sites internet. Il reste encore à parler de easyAllocate et transMesh qui sont, pour quelques semaines encore, invisibles aux yeux des moteurs de recherche.

D’autres occupations

Entre-temps, j’ai également refait un site internet pour un client de Yuranga. Yuranga ne fait plus de sites internet depuis un certain temps, mais fait quelques exceptions pour les entreprises clientes de leurs autres services (infrastructures réseaux et systèmes de vidéo-surveillance)

Une PME d’inspection de grues avait perdue sont site internet suite à hacking -comment, je ne sais pas- et, plutôt que de remettre le même en ligne telle quelle, ils en ont profité pour nous demander de l’améliorer.

Il manque aujourd’hui juste quelques lignes de texte sur la page services -Lorem ipsum, ce n’est pas vendeur-, mais la mise en page, les autres textes et les images sont bien finis.

Pour les plus curieux : allcranes.com.au

Promis, dans mon prochain post, je vous parle cocktails et coups de soleil.