Emirates, mon amour
Joseph Spadone 24 août 2015 Australie
Aujourd’hui, lundi 24 août, le grand jour est arrivé : départ pour l’Australie.
Première étape du jour : Dijon – Paris
Je vous passe le jus d’orange à 3€50 pris au wagon-bar du TGV. La SNCF ne me manquera pas pendant les 5 mois qui m’attendent loin de la France.
Seconde étape : Paris – Dubaï
Je m’apprête à voler avec Emirates. Tout le monde qu’il s’agit de la meilleure compagnie au monde. Je ne pourrais pas faire de comparatif, mais après m’être enregistré en ligne depuis mon iPhone, j’ai pu choisir le siège que je voulais directement sur l’application. Le 48K. Pourquoi ? Il est situé coté hublot, à l’avant de l’appareil pour ne pas attendre 30 minutes pour sortir de l’avion à l’arrivée et surtout pour pouvoir prendre une photo depuis le hublot avec un ciel magnifique et deux petits bouts de réacteur (Très important pour Instagram!). À noté que le check-in online m’aura tout de même évité de patienter derrière 100 à 150 Chinois pour enregistrer mes bagages car il offre l’accès à une file spéciale. Un peu comme si j’étais en Business. Concernant les bagages, pouvoir emporter 30kg est très agréable. Merci pour tout Emirates !
Pour moi, Emirates est dans l’aviation civile ce qu’est Uber dans les taxis, Apple dans l’informatique, Tesla dans l’automobile ou Dyson dans les aspirateurs : l’excellence.
Une fois l’embarquement (très rapide) effectué, le service à bord est impeccable. Même le repas est plutôt savoureux et certainement beaucoup plus équilibré que les nombreux Mc Do Fast-food qui m’attendent.
J’ai volé à bord d’un A380. C’était un peu un rêve en soit. Mais en voyant l’avion depuis la porte d’embarquement, on se demande comment il peut décoller. Non, ce gros appareil ne peut pas quitter le sol. Je suis sûr que Newton serait de mon avis.
Airbus A380-800 d’Emirates à Roissy Charles de Gaulle
Arrivée à Dubaï
J’ai eu vent que l’aéroport de Dubaï était tout doré du sol au plafond. Faux, il est argenté avec des petits reflets de cristaux partout. Au final, ça reste bien bling-bling. Mais on ne pourra pas leur reprocher la propreté impeccable et la signalisation plus que très claire.
Pour finir, puisque j’ai payé mon billet et que ma compagnie préférée ne me paye pas pour écrire ce billet, je vais leur reprocher le temps attendu pour la récupération des bagages. Oui, il y a beaucoup de monde dans un A380, sur un long vol, donc beaucoup de bagages en soutes. Tout cela s’est traduit par plus d’une heure trente d’attente pour retrouver ma valise -intacte-.
Transfert à l’hôtel
Tout c’était bien passé depuis ce matin, j’attendais donc le petit pépin qui pimenterait ma journée.
Après avoir réservé un hôtel à Dubaï pour trois jours avec Booking, une employée du site de réservation « numéro un sur terre », comme ils disent modestement, m’avait recontacté pour m’annoncer que l’hôtel me proposait d’organiser le transfert aéroport-hôtel pour 50 AED (moins de 18€). J’avais accepté puis donné les informations complémentaires demandées.
Mais manifestement, ce soir, personne ne m’attendait à l’aéroport et je n’avais plus de portable actif. L’agent du point infos de l’aéroport m’a donné le numéro et un téléphone pour joindre l’hôtel. Ceux-ci me disant qu’il n’avait pas reçu de confirmation de la demande du transfert par le site de réservation. Bref, on ne saura jamais qui de Booking ou de l’hôtel a merdé.
J’ai donc pu tester immédiatement les taxis de Dubaï. J’arrive dans une file avec 80 à 100 personnes devant moi, il est 2 heures du matin -minuit heure française- et je me dis que l’attente va être longue. C’était sans compter sur l’organisation quasi-militaire des taxis émiriens. Les chargements parfaitement cadencés font qu’en moins de 5 minutes, je suis dans une voiture.
Quelques minutes plus tard, je trouve ma chambre d’hôtel.
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7 septembre 2015
je suis si heureuse!
C’est une idée magnifique et une « mise en pages » très élégante!
Malgré ton interdiction (qui visait QUI DONC?), la forme est excellente, peu d’erreurs orthographiques!!!! Cça m’a sauté aux yeux pendant 40 années par obligation professionnelle, comment veux-tu que je remonte la pente?
Tu dois tenir de ton père (de « mon frère » comme dirait Quentin) un talent d’écriture certain.
Un seul regret : ton innovation ne va pas me permettre de m’inscrire sur FasseBouc car j’avais dit à mes gosses que c’était pr pouvoir être en relation avec toi.
Je continuerai ma lecture ce soir.
Gros gros bisous.
Marie Chantal